Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (104)

Ophélie m’entraîne dans la villa toujours enlacée.
Depuis le départ de la terrasse nos affaires peu nombreuses s’envolent, c’est nue que d’un coup de pied, je referme la porte de sa chambre et que nous roulons toujours très serré sur le lit.
Rapidement je me rapproche de sa jolie chatte couverte d’un fin duvet or.
Alors que je vais lui sucer son petit abricot, elle me prend par la tête pour me faire descendre plus rapidement et me plaque littéralement la bouche sur ses parties intimes.
Elle lâche ma figure pour écarter ses grandes lèvres et me faire apparaître un clitoris moins développé que celui d’Audrey, la réalisatrice adjoint de Johnny Biroute.
Je n’ai aucun mal à le happer avec ma bouche et le masturber avec ma langue et mes lèvres comme je le ferais avec le sexe d’un amant.

• Christine, tu me tues, aucun de mes amants n’a mangé mon clito comme tu le fais. Je vais partir. Oui, Oui, Oui.

Je remonte mon corps à sa hauteur et je reprends sa bouche pour un baiser plus prononcé que ceux que nous nous sommes donnés en dansant le slow.
Évitant d’apparaître comme inexperte elle descend sa bouche vers mes parties intimes, je fais basculer mes pieds au-dessus de ma tête comme Georges me l’avait fait faire le jour où il s’était payé Magali, l’escorte girl.
Même si ce jour-là, j’avais eu du mal à garder la position trop longtemps, je veux qu’Ophélie puisse profiter de ma chatte bien béante.
Elle apprécie, sa langue commence à me lécher de haut en bas.
J’ai l’impression d’une petite chatte lapant son lait avec sa langue tout au long de ma chatte.
Elle me maintenait les hanches facilitant la position.
D’un coup est-ce ces par inexpérience ou par envie, sa langue par de plus bas et remonte jusqu’à mon clito.
Même si le dos commence à me tirer, cette langue qui me lèche ma rondelle fait partir des ondes de plaisirs qui diffusent dans tout l’intérieur de mon bas-ventre.



• Au mon cœur, continu, tu me donnes beaucoup de plaisir entre ma chatte et mon cul. Oui.

En rester là est loin d’être son but, sa langue s’acharne sur mon petit œillet.
Elle délaisse ma chatte pour se concentrer sur mon anus dans une jolie feuille de rose.
Je vois mal avec ma position, mais elle doit faire une flèche avec sa langue et me taraude l’anus au plus loin qu’elle peut.
Mes sphincters internes essayent d’emprisonner cette petite bite qui me pénètre.
D’un seul coup au moment où j’allais lui demander de redescendre mes jambes, le feu d’artifice commence.
Des ondes irradient l’ensemble de mon corps au point de déconnecter mon cerveau du reste.
Si j’éructe, je jouis, jouis, jouis et jouis encore, je serais à mille lieues de la jouissance ressenties.
Ophélie me laisse reposer les jambes et j’ai du mal à revenir sur terre.
C’est une musique endiablée qui me ramène dans cette chambre où j’ai eu le plaisir de trouver un tel plaisir avec la simple langue d’une novice en plaisir féminin.
Je la fais venir dans mes bras et joue contre joue. Un de ses seins sur mon sein et nos jambes emmêlées, je la berce.

• Ophélie, tu es la femme qui m’aura fait le plus jouir !
• Oh ! Christine, pourtant j’ai simplement sucé ta chatte et ton petit trou !
• Oui, mais chacune d’entre nous, pratiquons les jeux de l’amour d’une façon qui permettent à l’autre de découvrir des pratiques inconnues et toujours renouvelées.
C’est ce que tu viens de faire, jamais personne ne m’avait aspiré l’anus comme tu la fais et lorsque ta langue a pénétré au plus profond de ma rondelle, mes sphincters se sont déclenchés et tu as vu ou tu m’as conduit.
• Personne ne t’avait fait cela !
• Tu es la première !
• Et c’est mal.
• Dans les jeux érotiques que tu pratiqueras à tous les moments de ta vie, Virginie ma marraine nous enseigne que tout est possible du moment que ce que tu imposes ou ce que l’on t’impose est librement consenti par les deux partenaires.

Tu as vu Anne, l’une des deux jumelles eurasiennes dont la petite fille est gardée par Katia.
• Oui.
• C’est mon petit cœur, mon petit bébé.
Après que Virginie m’a aidé lorsque mon ex m’a plaqué, c’est la première femme qui m’a fait pratiquer sur son corps une chose inimaginable.
• Et c’était.
• Il est difficile de te l’expliquer, tu pourrais trouver cela dégradant et avoir un blocage en toi qui te fermerais les portes de pleins d’autres plaisirs.
• Alors, fais-le-moi et si je juge que tu m’imposes une pratique qui me choque, je t’arrêterais.
• J’hésite, tu n’as mis dans ta chatte que la bite de ton copain sur la plage l’autre jour.
• Comment tu le sais, Katia te la dit ?
• Oui, elle m’a expliqué ce que vous fêtiez, lorsque vous êtes allé au restaurant.
• C’est vrai, j’ai tellement eu peur des personnes qui sont passées qu’il a juste eu le temps de déchirer mon hymen et d’entrer une ou deux fois en moi.
Les légères traces de sang que j’avais le long de mes cuisses en ont été la preuve lorsque j’ai pris ma douche en rentrant.
• Ophélie, j’aime toujours dire la vérité. Je dois te dire que j’étais parmi les personnes qui courraient sur la plage.
À aucun moment nous vous avons vu.
• Je te remercie de ta franchise.
• Tu veux vraiment que je te fasse voir.
• J’ai peur, mais ce qui m’arrive est si bon, que je suis entièrement à toi !
• D’accord, je vais te faire voir, mets-toi sur le dos et écarte tes cuisses.

Elle se positionne et met devant mes yeux sa chatoune avec sa jolie toison.
Je veux assouplir ses grandes lèvres et je les suce jusqu’à ce que je sente ses petites sécrétions inonder son vagin.

• J’y vais, il est encore temps de dire non.
• Oui, je t’attends.

Je prépare mes doigts en pointe comme sa langue dans mon anus pour que la pénétration soit sans douleur. Les cinq sont entrées dans sa fente. J’arrête et lui caresse les seins avec l’autre main.


• Ça va, tu supportes.
• Oui, c’est agréable, celui qui est en haut chatouille mon clito !

Je tourne pour faire pénétrer, je progresse de deux centimètres.

• Oh ! Que fais-tu, tu me remplis la chatte, c’est bon ?
Tu aimes.
• Oui.
• Je continue.
• Oui.

Son chant devient de plus en plus aigu, je progresse jusqu’à mon poignet.

• Vas-tu tous entrer ?

Je retire ma main de quelques centimètres, elle l’att avec ses deux mains et la propulse en elle.
Je suis au fond de son vagin sans l’avoir voulu aussi vite.
Ophélie commence à se tortiller de droite et de gauche, pas besoin de bouger, elle se masturbe elle-même sur le pieu qui la cloue sur son lit de plaisir.
De plaisir, car dans le même moment, sa gorge exprime le bien qu’elle ressent. Elle cherche désespérément l’air qu’il lui manque.
Elle continue à se trémousser sur le poing qui là rempli.
Vais-je oser ouvrir ma main ?
À chaque jour suffit son plaisir.
Lorsque son souffle est retombé, je me retire délicatement.
Je sors si lentement que lorsque tout est sorti, le petit bruit de succion est inaudible.

• C’est si bon, remet moi là !

Avant que je n’aie le temps de comprendre, elle me saisit l’avant-bras et me plonge en un seul mouvement en elle.
Elle pousse un grand râle et tourne de l’œil.
Moi qui voulais la ménager, je suis plutôt surprise.
Je reste immobile et j’attends qu’elle revienne à moi.
Elle met plus de deux minutes, qui paressent une éternité avant que ses yeux s’ouvrent.

• Que m’est-il arrivé ?
• Ton plaisir a été si intense, que tu as tourné de l’œil quelques minutes.

Un grand sourire de sa part.

• Christine, où est passée ta main ?

Appuyée sur les oreillers, elle a une vue plongeante sur son sexe.

• Garde là, je te la prête quelques jours.


Nous éclatons de rire ce qui fait bouger ma main.

• Oh ! Je vais repartir, cela monte.
• Tu veux que je te fasse ce que je n’ai osé te faire tout à l’heure.
• Oui.

Je commence doucement à ouvrir mes doigts, je sens la pointe de mon majeur pénétrer son utérus.
Pour la première fois, mon pouce vient en contact avec la partie haute de son vagin et lorsque je l’ouvre, elle repart au pays des songes.
Je ressors ma main et j’entends le bruit de succions si attendues lorsque je libère sa chatte.
Je saute du lit et je vais chercher un linge dans la salle de bain.
En passant, je regarde comment va Katia. Elle dort profondément. Les bruits que nous avons émis lors des plaisirs d’Ophélie ont été couverts par tous ce qu’elle a ingurgité comme cachets.
Revenu auprès de ma nouvelle amie, je lui applique le froid salvateur.
Tout revenu dans l’ordre, je l’embrasse et je m’habille.

• Tu t’en vas, tu m’abandonnes.
• Oui, mon cœur, je laisse Katia ici et je reviendrais vous chercher dans la matinée.
• Ferme la porte avec la clef sur la porte, j’en ai une personnelle…

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